Juridiction Maritime

En droit maritime, il est dit : « Que celui qui sera trompé, qu’il soit trompé » (Si vous avez mordu à l’hammeçon, c’est de votre faute, pas la faute de l’escroc.)

La loi de l’amirauté maritime, UCC (Universal Commercial Code) loi qui est internationale, transcende légalement toutes les lois et accorde principalement à traiter des activités commerciales, on utilise un nom propre écrit en toute MAJUSCULE pour créer une personne fictive qui est une entité juridique rattachée à un numéro de sécurité sociale. C’est un contrat de naissance enregistré. Tout comme un contrat d’entreprise avec un numéro de SIRET. Comme nous sommes tous des entités enregistrées en tant que numéros, nous sommes gouvernés par des entités qui portent elles-mêmes des numéros.

Par exemple, si on veut être citoyen d’une nation ou d’un pays, on obtient un « navire » citoyen (citizenSHIP), dans les affaires, on obtient un « navire » partenaire (partnerSHIP), un « navire » pour les études (scholarSHIP) etc…

Un petit jeu de mots…

Le mot maritime, vient du langage proto italique. Tout est en relation avec le champ lexical de l’eau. Les racines Mer/ Mar/ Mare/ Mari sont à l’origine des mots comme Commerce/ Mariage/ Maritime/ Marchant… L’eau qui coule via les courants dans les rivières est dirigé par leurs berges (banks, en anglais) l’eau qui coule dans le droit de l’amirauté maritime est l’argent (currency, qui vient de current sea), comme dans « liquidité ». Quand un navire s’arrête dans un port, le capitaine du navire soumet au capitaine du port un manifeste d’accostage (manifest of berth, en anglais, l’équivalent aux humains: manifest of birth), une licence des marchandises et services, fournis par le navire à quai. Le capitaine signe le manifeste affirmant que la marchandise est maintenant propriété de la circonscription, ce qui inclut, le bétail.

Les sociétés doivent avoir un président, un vice-président et un secrétaire du trésor, tout dans le monde de la loi marchande est relatif à l’eau sur laquelle, toutes les entreprises sont des navires. Tout n’est que vaisseau, un navire fictif créé à partir de rien, flottant dans les lois des banques commerciales d’entreprises.

voir : Une justice dans le monde de la finance ?